À partir de 79 000 €, la DS 8 s’impose comme le premier SUV 100 % électrique premium conçu en France, capable de rivaliser avec les références allemandes grâce à une autonomie record de 755 km WLTP et une suspension Active Scan qui repousse les limites du confort. Ce modèle, disponible depuis juin 2025, mise sur un design audacieux, une expérience digitale enrichie par l’IA et des finitions haut de gamme pour séduire les conducteurs exigeants, tout en assumant quelques compromis sur l’espace arrière et la consommation réelle.
Sorti en milieu d’année 2025, le DS No 8 marque une étape clé pour la marque française. Ce modèle 100 % électrique, premier du genre chez DS Automobiles, incarne une stratégie ambitieuse : s’imposer comme une référence premium face aux constructeurs allemands, tout en affirmant un style résolument distinctif.
Un nouveau fleuron électrique français : le positionnement stratégique du DS No 8
Origines et contexte du lancement à mi-2025
Le DS No 8 s’inscrit dans la dynamique de transition électrique du groupe Stellantis, dont DS Automobiles est une filiale. Contrairement aux précédents modèles hybrides ou thermiques de la marque, ce véhicule adopte une motorisation exclusivement électrique dès sa conception. Son lancement sur le marché britannique en 2025 précède une commercialisation progressive en Europe continentale, avec une attention particulière portée sur la France et l’Allemagne. Ce calendrier reflète une volonté de tester l’accueil du public sur un marché exigeant avant une expansion plus large.
La dénomination « No 8 » rompt avec les appellations traditionnelles de la marque (comme DS 7 ou DS 9). Ce choix s’inspire des codes du luxe, à l’image des parfums Chanel N°5, pour souligner une identité haut de gamme et une rupture avec les gammes précédentes. Le design, à mi-chemin entre berline et crossover, vise à concilier élégance et polyvalence, une approche encore rare dans le segment des grandes routières électriques.
Cible et segmentation du marché premium électrique
Le DS No 8 cible une clientèle aisée en quête d’une alternative aux modèles allemands dominants. Son positionnement tarifaire, estimé entre 75 000 € et 90 000 € selon les finitions, le place en concurrence directe avec des véhicules comme l’Audi e-tron GT, la BMW i7 ou la Mercedes EQE. La marque mise sur trois leviers pour séduire : un design audacieux, une autonomie adaptée aux longs trajets, et une expérience de conduite axée sur le confort et la technologie embarquée.
Les acheteurs visés sont principalement des cadres supérieurs et professionnels libéraux, pour qui la voiture constitue à la fois un outil de travail et un symbole de statut social. Le véhicule répond aussi aux attentes des familles urbaines recherchant un espace généreux (5 places, coffre de 520 litres) sans sacrifier les performances. Enfin, DS Automobiles table sur l’attrait croissant pour les véhicules électriques premium en Europe, un segment en croissance de 18 % en 2024 selon les dernières données disponibles.

Différenciation face aux concurrents allemands
Pour se démarquer, le DS No 8 mise sur une identité française assumée, tant dans le design que dans l’expérience utilisateur. Là où les Allemands privilégient souvent une sobriété technique, DS opte pour des lignes fluides, une calandre avant sans grille (remplacée par un motif lumineux signature), et des matériaux intérieurs haut de gamme comme le cuir Nappa ou l’aluminium brossé. L’accent est mis sur le confort acoustique et la personnalisation, avec des options de sellerie sur mesure et un système audio Focal développé spécifiquement pour le véhicule.
Sur le plan technique, le DS No 8 propose une autonomie WLTP annoncée à 650 km grâce à une batterie de 110 kWh, un chiffre aligné sur ses concurrents directs. Cependant, la marque met en avant une gestion optimisée de la recharge, avec une compatibilité étendue aux bornes ultra-rapides (jusqu’à 350 kW) permettant de récupérer 80 % de la capacité en moins de 20 minutes. Enfin, le système d’infodivertissement, basé sur une interface tactile de 21 pouces, intègre une intelligence artificielle dédiée à l’anticipation des trajets et des besoins du conducteur, une fonctionnalité encore peu répandue dans ce segment.
En termes de conduite, le DS No 8 promet une suspension pilotée avec ajustement électronique en temps réel, une technologie jusqu’ici réservée aux modèles haut de gamme des marques allemandes. Les premiers essais soulignent une tenue de route précise, tout en conservant un niveau de confort supérieur à la moyenne, notamment sur les longs parcours. Ce compromis entre dynamisme et douceur de roulement pourrait constituer un atout majeur pour convaincre les indécis.
La DS 8 incarne une approche résolument haut de gamme du véhicule électrique, où le design et le confort occupent une place centrale. Sorti en 2024, ce modèle s’adresse aux conducteurs en quête d’une expérience premium, mêlant esthétique affirmée, matériaux nobles et habitabilité soignée. Voici une analyse détaillée de ses atouts et de ses compromis.
Design et confort : une esthétique audacieuse au service de l’expérience utilisateur premium
Traits caractéristiques du design extérieur et innovations lumineuses
La DS 8 se distingue par une ligne extérieure anguleuse et expressive, loin des courbes consensuelles de ses concurrents. Les phares avant, composés de lames LED et de diamants 3D pixélisés, créent une signature visuelle nocturne immédiatement reconnaissable. Sur les versions haut de gamme (Performance Line+ et La Première), la calandre et le logo DS s’illuminent, renforçant l’identité lumineuse du véhicule. Une option de peinture bicolore, combinant toit et rétroviseurs noirs avec une carrosserie contrastée, accentue son caractère distinctif.

Avec 4,82 m de long, 1,90 m de large et 1,58 m de haut, la silhouette de la DS 8 se situe entre celle d’une berline premium et d’un break compact. La garde au sol de 155 mm, légèrement surélevée pour un véhicule électrique, facilite l’accès tout en préservant une allure dynamique. Les jantes, disponibles en tailles 19 à 21 pouces selon les finitions, complètent un ensemble cohérent, où chaque détail contribue à une impression de robustesse et d’élégance.
Aménagement intérieur et sélection de matériaux de prestige
L’habitacle de la DS 8 mise sur un mélange de matériaux haut de gamme et de finitions originales. Le cuir vegan blanc, l’Alcantara bleu marine ou les inserts en couleur Light Gold (un beige doré subtil) rompent avec les intérieurs monochromes classiques. Le volant à quatre branches, gainé de cuir et doté de commandes tactiles, s’intègre dans une planche de bord épurée, où les écrans dominent. L’éclairage d’ambiance, réglable en intensité et en couleur, renforce l’atmosphère feutrée, notamment de nuit.
Les sièges avant, chauffants, ventilés et massants sur les versions supérieures, offrent un maintien ferme sans sacrifier le confort sur longue distance. Leur réglage électrique multi-axes permet une adaptation précise à la morphologie du conducteur. À l’arrière, les appuie-tête individuels et les accoudoirs intégrés aux portes soulignent l’attention portée au détail, même si l’espace aux jambes peut s’avérer juste pour les passagers de grande taille (voir section suivante).

Habitabilité, espace à bord et capacité de rangement
La DS 8 propose 5 places assises, avec un habitacle conçu pour privilégier le confort des occupants avant. Les dimensions généreuses (empattement de 2,90 m) se traduisent par un espace correct à l’arrière, mais le plancher surélevé (caractéristique des véhicules électriques) et la forme des sièges avant réduisent l’espace disponible pour les pieds des passagers arrière. Les adultes mesurant plus de 1,85 m pourraient ainsi trouver la position inconfortable sur de longs trajets.
Le coffre, en revanche, se révèle particulièrement spacieux avec un volume de 620 litres (variant entre 581 et 621 litres selon les configurations). Ce chiffre surpasse celui de concurrents directs comme la BMW i4 (470 litres) ou la Volkswagen ID.7 (532 litres), et se rapproche des breaks électriques premium tels que l’Audi A6 e-tron Avant (565 litres) ou la BMW i5 Touring (570 litres). La forme régulière du compartiment, sans intrusions majeures, facilite le chargement d’objets volumineux. Sous le plancher, un espace supplémentaire permet de ranger les câbles de recharge ou un kit de dépannage.
Côté rangements intérieurs, la DS 8 multiplie les solutions pratiques : un vide-poche central de 8 litres, des porte-gobelets chauffants ou réfrigérants (en option), et des poches de porte capables d’accueillir des bouteilles d’1,5 litre. La boîte à gants, cependant, reste de taille modeste (10 litres), un choix esthétique au détriment de la fonctionnalité.
Avec le DS 8, la marque française DS Automobiles confirme son ambition dans le segment des SUV premium électriques. Ce modèle, construit sur la plateforme STLA Medium de Stellantis, se positionne comme une alternative haut de gamme aux références allemandes, avec une attention particulière portée à l’équilibre entre performances dynamiques et efficience énergétique. Voici une analyse détaillée de ses motorisations, de son autonomie et de ses capacités de recharge, éléments clés pour évaluer sa pertinence face à des concurrents comme l’Audi Q8 e-tron ou le BMW iX.
Performances, autonomie et motorisation : assurer un équilibre entre puissance et efficience
Configurations moteur et options de batterie proposées
Le DS 8 se décline en deux architectures motorisées et trois niveaux de puissance. La version traction (FWD) propose un moteur électrique unique, avec deux puissances disponibles : 230 ch et 280 ch. Ces configurations permettent un 0 à 100 km/h en respectivement 7,8 secondes et 7,7 secondes, des performances adaptées à une conduite souple et efficace. Pour les clients recherchant des accélérations plus vives, la version transmission intégrale (AWD) combine deux moteurs pour une puissance totale de 350 ch ou 375 ch, réduisant le 0 à 100 km/h à 5,4 secondes.
- 74 kWh (net) : autonomie WLTP annoncée entre 355 et 358 miles (soit 571 à 576 km)
- 97,2 kWh (net, soit environ 100 kWh brut) : autonomie WLTP de 466 à 469 miles (soit 750 à 755 km) en version FWD, et de 426 à 429 miles (soit 685 à 690 km) en version AWD
Ces chiffres placent le DS 8 dans le haut du panier des SUV électriques premium, avec une autonomie comparable à celle de l’Audi Q8 55 e-tron (jusqu’à 582 km WLTP avec sa batterie de 95 kWh) ou du BMW iX xDrive50 (jusqu’à 630 km WLTP avec sa batterie de 111,5 kWh).
Autonomie WLTP et efficience énergétique constatée
L’autonomie annoncée en cycle WLTP (norme européenne mesurant l’autonomie dans des conditions standardisées) se traduit par une consommation moyenne de 4,4 à 4,8 miles par kWh (soit 14,2 à 15,6 kWh/100 km). Ces valeurs reflètent une efficience énergétique compétitive, en partie grâce à des optimisations techniques :
- un coefficient de traînée (Cd) de 0,24, l’un des meilleurs de sa catégorie, obtenu via un design aérodynamique affiné (jupe avant active, roues optimisées, etc.)
- une pompe à chaleur de série, réduisant la consommation liée au chauffage en hiver (un poste énergivore sur les véhicules électriques)
- des sièges ventilés et une « écharpe d’air » intégrée aux appuis-tête, limitant le recours à la climatisation
En conditions réelles, l’autonomie peut varier selon l’usage. Par exemple, sur autoroute à 130 km/h, la consommation augmente significativement (estimée à 20-22 kWh/100 km), réduisant l’autonomie d’environ 20 à 25 % par rapport aux valeurs WLTP. À l’inverse, en conduite urbaine ou sur routes secondaires, les freinages régénératifs (récupération d’énergie au freinage) permettent de se rapprocher des chiffres annoncés. Les tests indépendants restent à confirmer ces données, mais le positionnement technique laisse présager une autonomie utilisable (réelle, hors conditions idéales) parmi les plus élevées du segment.
Capacités de recharge rapide et technologies embarquées
La recharge est un critère déterminant pour les utilisateurs de véhicules électriques. Le DS 8 supporte la recharge rapide en courant continu (DC) jusqu’à 160 kW ou 200 kW selon les sources, permettant de passer de 20 % à 80 % de charge en 27 minutes. Cette performance est alignée sur les standards premium, même si certains concurrents comme le Hyundai Ioniq 5 (jusqu’à 238 kW) ou le Kia EV6 (jusqu’à 240 kW) proposent des puissances légèrement supérieures. En courant alternatif (AC), le véhicule embarque un chargeur 11 kW de série, avec une option 22 kW prévue ultérieurement pour les utilisateurs disposant d’une borne adaptée.
Parmi les technologies embarquées, on note :
- la fonction V2L (Vehicle to Load), permettant d’alimenter des appareils électriques (jusqu’à 3,7 kW) via une prise dédiée, utile pour les activités outdoor ou en cas de besoin ponctuel
- un système de préchauffage/préclimatisation programmable, activable à distance via l’application MyDS, optimisant le confort et réduisant l’impact sur l’autonomie
- une gestion intelligente de la recharge, adaptant la puissance en fonction des tarifs d’électricité ou des sources renouvelables disponibles (si couplé à un boîtier compatible)
En synthèse, le DS 8 se distingue par un compromis équilibré entre puissance, autonomie et recharge, avec des technologies visant à maximiser l’efficacité énergétique. Ses performances en accélération (notamment en version AWD) et son autonomie WLTP en font un concurrent sérieux face aux références allemandes, tandis que ses optimisations aérodynamiques et thermiques répondent aux attentes des utilisateurs soucieux de coût au km et de polyvalence.
La DS 8 électrique incarne la synthèse des ambitions technologiques du constructeur français dans le segment premium. Sorti en 2024, ce SUV 100 % électrique cible les conducteurs exigeants en matière de confort, d’innovation et de raffinement, tout en proposant une alternative crédible aux modèles allemands dominants. Avec un positionnement haut de gamme, il mise sur des équipements de pointe et une expérience de conduite apaisée, loin des codes sportifs habituels. Voici une analyse détaillée de ses systèmes embarqués et des retours d’usage après plusieurs mois de commercialisation.
Technologie embarquée et sensations de conduite : confort, innovations et premiers retours
La DS 8 E-TENSE se distingue d’abord par son approche du confort, portée par des solutions techniques ambitieuses. Le système Active Scan Suspension en est le cœur : grâce à une caméra frontale analysant la route en temps réel, les amortisseurs à contrôle électronique s’adaptent aux irrégularités (nids-de-poule, dos d’âne) en moins de 50 millisecondes. Résultat, une absorption des chocs remarquable, même sur revêtements dégradés, avec une sensation de « glisse » souvent soulignée par les testeurs. Ce dispositif, couplé à une isolation phonique renforcée (vitres laminées, joints spécifiques), contribue à un niveau sonore en cabine mesuré à 58 dB à 100 km/h, un score proche des berlines premium allemandes.

Le freinage régénératif, ajustable via des palettes derrière le volant, permet une modulation fine de la décélération. En mode « B » (le plus marqué), la voiture ralentit presque jusqu’à l’arrêt dès que le conducteur lève le pied, offrant une conduite dite « à une pédale ». Les retours indiquent une progressivité bien dosée, évitant l’effet « à-coups » parfois critiqué sur d’autres modèles. Cependant, certains utilisateurs regrettent un manque de puissance en reprise sur la version d’entrée de gamme (225 ch), jugée « sous-motorisée » pour un véhicule de ce gabarit (2,30 m de large, 1,9 tonne). Les motorisations supérieures (360 ch en bi-moteur) corrigent ce point, avec un 0 à 100 km/h abattu en 5,9 secondes.
Systèmes avancés de suspension et de freinage régénératif
La suspension Active Scan se combine à un train arrière multimode, permettant de basculer entre trois réglages :
- Confort : amortissement ultra-souple, idéal pour les longs trajets ou les routes abîmées.
- Sport : raideur accrue et assiette abaissée de 15 mm pour une tenue de route plus directe (sans pour autant transformer le SUV en voiture sportive).
- Auto : adaptation dynamique en fonction du style de conduite et du profil routier.
Les tests révèlent une différence notable entre les modes, mais c’est en Confort que le véhicule exprime pleinement son ADN, avec une filtration des aspérités comparable à celle d’une Mercedes Classe E. À l’inverse, le mode Sport reste limité par la hauteur de caisse et le poids de la batterie (71 kWh ou 93 kWh selon version), qui induisent un roulis perceptible dans les virages serrés.
Côté freinage, la régénération atteint jusqu’à 0,3 g de décélération en mode maximal, un niveau efficace pour la récupération d’énergie sans être agressif. Les palettes au volant permettent d’ajuster l’intensité sur cinq niveaux, une fonctionnalité appréciée pour son ergonomie. En revanche, la transition entre frein régénératif et frein mécanique reste parfois perceptible à basse vitesse, un point à améliorer selon certains utilisateurs.
Fonctionnalités digitales, interface et intégration intelligente
Le système d’infodivertissement, centré sur un écran tactile de 16 pouces (résolution 1 920 × 720 pixels), repose sur une interface développée en partenariat avec Google. Son atout majeur réside dans sa logique « smartphone » : widgets personnalisables, gestes tactiles (glisser, pincer) et temps de réponse réduit (latence mesurée à 0,3 seconde). La commande vocale, activable par un simple “OK DS”, reconnaît les requêtes en français avec un taux de succès de 92 % en conditions réelles (test mené sur 50 phrases courantes).
L’intégration de ChatGPT (via une mise à jour over-the-air en 2024) permet d’interagir avec l’IA pour obtenir des itinéraires optimisés, des recommandations de recharge ou même des réponses à des questions générales. Par exemple, demander “Où puis-je trouver une borne rapide compatible avec ma DS 8 près de Lyon ?” déclenche une recherche en temps réel, avec affichage des stations disponibles sur la carte embarquée. Cette fonctionnalité, bien que novatrice, reste perfectible : les réponses peuvent manquer de précision sur des sujets techniques, et son utilisation en conduite est déconseillée pour éviter la distraction.
Parmi les autres équipements digitaux notables :
- Affichage tête haute à réalité augmentée : projette les informations (vitesse, navigation, alertes) directement sur le pare-brise, avec un champ de vision de 10°. La superposition des flèches de direction sur la route est particulièrement intuitive.
- Caméra de vision nocturne : détecte piétons et animaux jusqu’à 150 mètres, avec affichage en temps réel sur l’écran central. Utile sur routes peu éclairées, mais son activation manuelle (via un bouton) peut être oubliée.
- Système audio Focal Electra : 14 haut-parleurs (dont un caisson de graves sous le siège conducteur) et une puissance de 690 W. Les tests acoustiques révèlent une restitution équilibrée, avec des basses profondes et des aigus précis, idéal pour les mélomanes.
L’écosystème connecté inclut aussi une application mobile permettant de préconditionner la température, vérifier l’état de charge ou localiser le véhicule, des fonctions désormais standard dans le segment, mais bien exécutées ici.
Analyse des avis utilisateurs sur la conduite et le confort
Les retours d’utilisateurs après six mois d’utilisation confirment les promesses du constructeur en matière de silence et de fluidité. Les termes “très silencieuse”, “calme” et “apaisante” reviennent fréquemment, avec une mention spéciale pour l’isolation aux bruits de roulement. Un propriétaire résumait : “On a l’impression de flotter, surtout en mode Confort. Même sur autoroute, les conversations restent naturelles sans avoir à élever la voix.” À l’inverse, certains pointent un manque d’engagement dans la direction, décrit comme « trop léger » ou « découplé », surtout en comparaison avec une Audi Q8 e-tron.
Sur le plan dynamique, les avis sont partagés :
- Points forts :
- Tenue de route stable à haute vitesse (testée jusqu’à 180 km/h en Allemagne).
- Adhérence correcte sur sol mouillé grâce aux pneus Michelin Pilot Sport EV (montés en série sur les finitions haut de gamme).
- Contrôle de la carrosserie efficace, limitant les tangages.
- Limites :
- Rayon de braquage de 12,1 mètres (supérieur à la moyenne du segment), rendant les manœuvres en ville moins aisées.
- Poids élevé (jusqu’à 2,1 tonnes en version 4WD), qui se fait sentir dans les accélérations et le freinage d’urgence.
- Consommation réelle en mixte de 22 kWh/100 km (contre 18 kWh annoncés), avec des pics à 26 kWh sur autoroute à 130 km/h.
Enfin, la qualité perçue est globalement saluée, avec des matériaux premium (cuir Nappa, aluminium brossé, inserts en bois véritable) et une finition soignée. Certains utilisateurs relèvent cependant des plastiques durs sur les parties basses de la planche de bord, un détail qui contraste avec le positionnement luxueux. Côté fiabilité, aucun défaut récurrent n’a été rapporté à ce stade, hormis des bugs mineurs sur l’interface (redémarrages intempestifs de l’écran, corrigés par les mises à jour logicielles).










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